Une situation délicate à gérer [PV Carlisle, Esmée et Rosalie] - 27 avril 1935

Esmée se trouvait dans le salon lorsque j'arrivais à la maison, après une longue journée de travail à l'hôpital : j'avais dû aider deux femmes à faire naître leurs bébés, car le médecin chargé de s'en occuper était mystérieusement absent et l'on m'avait appelé en urgence à la maternité pour le remplacer auprès d'elles... Le premier accouchement s'était plutôt bien passé, malgré que la jeune maman eut perdu un peu de sang lors de la naissance, mais sa fille se portait bien... Malheureusement, pour la seconde, tout ne se déroula pas aussi bien et l'enfant, un petit garçon, ne vécut que quelques minutes... Le père, très vite averti, alla consoler sa femme, et l'ensemble du personnel les laissa seuls... J'entrais dans la maison, posais mon manteau et me dirigeais aussitôt vers elle... D'en haut, me parvint l'odeur de notre fille, probablement seule dans sa chambre, située à l'étage...

« Rosalie m'inquiète, ces derniers temps... Elle semble continuellement triste, depuis son arrivée parmi nous... Que devrais-je faire pour l'aider à se sentir mieux ? » lui demandais-je, d'un air soucieux...

@ Post de l'ancien joueur

J'étais assise sur un des fauteuils du salon, devant la télévision, à attendre de mon mari qu'il revienne de son travail, il devait bientôt arriver... C'était sur cette pensée que j'entendis une voiture se garer... Ça devait être lui... C'était bien lui, je sentis son odeur et celle de Rose, qui était à l'étage dans sa chambre... Quand je vis enfin Carlisle entrer, je me levais de mon fauteuil pour aller le rejoindre...

« Bonjour, mon chéri, ta journée s'est bien passée ? »

Je le regardais, il avait visiblement l'air inquiet : ça devait être à cause de Rosalie quand il me dit « Rosalie m'inquiète, ces derniers temps... Elle semble continuellement triste, depuis son arrivée parmi nous... Que devrais-je faire, pour l'aider à se sentir mieux ? »

« Tu devrais la laisser s'intégrer à notre famille et aussi à sa condition en tant que vampire... Tu devrais essayer de lui parler... »

J'étais seule, allongée sur mon lit... Encore une journée qui venait de passer et dont mes pensées m'entraînaient de plus en plus vers le point de rupture : je songeais de plus en plus à partir loin d'ici et à me rendre en Italie pour y rencontrer les Volturi... Mon désir de mort devenait de plus en plus présent et de plus en plus violent : j'en arrivais à ne plus sortir de ma chambre, à me renfermer sur moi-même et à ne plus rien aller chasser du tout... Je sentis l'odeur de mon père approcher : il venait de rentrer de son travail et était sûrement en train de parler de moi avec ma mère... Cela ne m'amusait même plus de les espionner : leurs discussions tournaient toujours autour de moi en ce moment et cela commençait à m'énerver...

Esmée avait raison : il était grand temps que Rosalie et moi ayons une bonne discussion... Je soupirais et me décidais à agir...

« Rosalie ? Peux-tu venir en bas, s'il-te-plaît ? On doit discuter...» l'appelais-je, du pied des escaliers...

@ Post de l'ancien joueur

J'attendais en bas avec Carlisle mais Rosalie n'avait pas l'air décidé à descendre, alors je l’appelais à mon tour pour qu'elle descende...

- Rosalie, tu peux descendre, s'il te plaît ?

Ce fut seulement à ce moment-là que Rosalie descendit...

- Rosalie, il faut qu'on parle... Je sais que ta venue ici est difficile et il va falloir que tu t'y fasses, mais quoi qu'il arrive, on sera toujours là... dis-je une fois que l'on se soit tous installés...

Je me décidais enfin à descendre quand ma mère m'appela.. Je n'y couperais pas cette fois mais comment leur faire comprendre que je ne désirais qu'une chose : "mourir".

Je m'installais dans le canapé face à mes parents adoptifs. Ma famille me manquait mais ma vie d'humaine avant tout.

- Je sais que vous êtes là mais vous ne pouvez pas comprendre ce que je ressens au fond de moi...

Je regardais mes parents puis baissais les yeux. Je regardais le sol.

Je soupirais à nouveau : je savais que Rose avait beaucoup de mal à s'adapter à notre condition... Cela n'allait pas être facile de la rassurer...

« Je sais ce que tu ressens, Rose... Je l'ai vécu moi aussi, à mes débuts, il y a 272 ans... Avec le temps, ça ira mieux, tu verras... Peut-être que dans pas longtemps, tu trouveras quelqu'un qui te conviendra et qui t'aimera pour toi, comme Esmée pour moi... » lui dis-je calmement, ne me doutant pas que cela se produirait beaucoup plus tôt que je ne le croyais...

@ Post de l'ancien joueur

Je regardais Rose avec un sourire rassurant...

« Carlisle a raison, tu sais... Même Edward vit ça aussi, et puis quand tu trouveras quelqu'un, ça ira beaucoup mieux... Et puis, même si tu ne trouves pas, tu auras le temps pour t'habituer, et puis nous, on est là, si tu as besoin de parler... N’hésites pas à venir nous voir, on sera toujours là pour toi... »

J'haussais les épaules en soupirant. C'était compliqué de leur expliquer ce que je ressentais eu fond de moi. Je les regardais à tour de rôle puis baissa la tête. Je sentis une onde de colère remonter en moi et me levais.

- Vous ne comprenez pas ! J'aurais préféré mourir ! Pourquoi m'as tu sauvé, Papa ? La mort aurait été bien plus douce que cette vie ! Je ne pourrais jamais....

Je me tournais pour éviter de devenir méchante avec mes parents et prononcer des paroles que je risquais de regretter plus tard.

Rose eut une réaction violente à nos paroles et se mit en colère : elle avait l'air de beaucoup m'en vouloir de l'avoir transformée contre sa volonté...

« Je ne pouvais pas te laisser mourir de cette façon-là, il y a deux ans, lorsque je t'ai trouvée dans cette ruelle, Rose... Je sais que tu m'en veux de t'avoir mordue mais je l'ai fait pour te sauver... C’était la seule solution pour te sauver... » dis-je...

@ Post de l'ancien joueur

Je sourir trisstement a Rosalie qui avais mal réagie a se qu'avai dit Carlisle

- Rose calme toi je c'est que tu souffreu que tu ne voulais pas devenir se que tu et mais personne ne voudrai l'étre on a tous souffer apré la transfomation

Je restais toujours le dos tourné à mes parents, cherchant à retrouver mon calme avant de leur répondre... Je soufflais plusieurs fois de suite et savais que si j'avais pu pleurer, je l'aurais fait à ce moment-là... Je me sentais impuissante pour gérer ce moment de solitude et de déception...

« Ce n'est pas le fait d'être vampire qui me fait souffrir, c'est le fait d'être seule et de savoir que jamais, je ne pourrais enfanter... C'était le seul désir que j'avais et qui me poussait à aller de l'avant et maintenant, je n'ai plus rien à quoi me raccrocher... »

Rose continua obstinément à nous tourner le dos, plus en colère que jamais face à ce qu'elle était devenue...

« Ce n'est pas le fait d'être vampire qui me fait souffrir, c'est le fait d'être seule et de savoir que jamais je ne pourrai enfanter... C'était le seul désir que j'avais et qui me poussait à aller de l'avant et maintenant, je n'ai plus rien à quoi me raccrocher... » lança-t-elle, amère...

« Je suis désolé que tu ne puisses pas réaliser ton rêve, Rosalie... J'aurais voulu avoir des enfants lorsque j'étais humain mais cela n'a malheureusement pas pu se faire... Cependant, je vous ai, ton frère et toi, vous êtes nos enfants, à Esmée et moi... Tu trouveras quelqu'un avec qui fonder une famille, je le sais... » lui dis-je en espérant la rassurer et ayant le sentiment étrange que notre famille allait bientôt compter un membre de plus...

@ Post de l'ancien joueur

Je savais se que resenter rose car a cause de notre condition nous ne pouvon pas avoir d'enfant ni de petit enfants se qui me render triste mais au resment qu'il y a carlisle ainci que Ed et mantent Rose

- Je c'est se que tu peu resentire rose mais il faut te bartre et il y a moi et carlisle on sera tpujours la pour toi quoi qu'il arrive

Je lui mie ma mian sur sont et pole avec un petit sourir mais je voiller bien quele étai toujours en colére

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